We have always used the subterranean to put hide the things, living and non-living, that we do not want to take care of. The ones that repel us. Imagining invisibility as a shield and as a protection. They make no exceptions: the rats. Always confined to the invisible dimension of the urban subsoil, rats, under the new injunction to “re-naturate” our cities, re-affirm their presence and the necessity to negotiate and share our living spaces with a wider cosmos of entities and beings offering the possibility of imagining new relationships with the “marginalized”, the “excluded”.

We will collect a corpus of Twitter discussions about “nature in the city”, to describe, imagine and stage new forms of intelligent conviviality between man and nature. Building a common narrative of these stories, making them intelligible, is part of the effort to stimulate answers to the question “who is entitled to live in our space?” aimed at producing elements for a new ethical inclusiveness for our cities by developing modalities that experiment with other living beings: other ways of living intelligently.

More info coming soon.

ICI-DESSUS — Approfondir les réponses émotionnelles aux êtres vivants indésirables de la ville.

Nous avons toujours utilisé les espaces souterrains afin d’enfouir les sujets, vivants et non vivants, dont nous ne voulions pas prendre soin. Ceux que nous trouvions repoussant et indésirables. Les rats ne font pas exception à cette règle. Toujours confinés à la dimension invisible du sous-sol urbain, les rats, sous la nouvelle injonction de “ renaturer “ nos villes, réaffirment alors leur présence et nous interrogent sur la nécessité à renégocier et partager nos espaces de vie avec un cosmos plus large d’entités et d’êtres. Ces entités nous offrent la possibilité d’imaginer de nouveaux rapports avec les “ marginalisés “, les “ exclus “. Nous recueillerons donc un corpus de discussions issu de Twitter sur “la nature dans la ville”, pour décrire, imaginer et mettre en scène de nouvelles formes de convivialités intelligentes entre l’homme et la nature. Construire un récit commun de ces histoires, les rendre intelligibles, fait partie de l’effort pour stimuler les réponses à la question “ qui a le droit de vivre dans notre espace “ visant à produire des éléments pour une nouvelle inclusion éthique dans nos villes en développant des modalités qui expérimentent avec d’autres êtres vivants : de nouvelles manières de vivre intelligemment.

Cette étape de travail est financée par la Lighthouse Company, l’Esad et la Drac région ile de France. Elle implique des étudiants issus de l’école de théâtre de l’ESAD et de l’ENSCI.

Si vous voulez participer à ce laboratoire, n’hésitez pas à remplir le formulaire, ou simplement vous arrêter pour dire “BONJOUR” !

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